Le plastique est une matière ambivalente. Ses indéniables propriétés lui ont permis de trouver un intérêt dans de nombreux objets de notre quotidien ; dans les domaines de la santé, de l’énergie, de la mobilité, de la communication, de l’alimentation, etc.
Revers de la médaille, cette omniprésence a fait basculer l’humanité dans une boulimie de plastique qui n’est pas sans conséquences pour la planète. Selon l’OCDE, sa production mondiale a doublé entre 2000 et 2020, passant de 234 à 460 millions de tonnes. Si les images d’animaux marins prisonniers d’objets en plastique, ou celles des continents plastique, ont lancé l’alerte, la pollution prend d’autres formes insidieuses et invisibles, aux différentes étapes du cycle de vie du plastique, n’épargnant aucun milieu et impactant le climat, la biodiversité et la santé humaine.
Je suis investi sur le sujet depuis 2019. Tout a commencé avec le rapport de l’OPECST : « pollution plastique : une bombe à retardement ? ». Ce premier rapport a été suivi de trois autres, consacrés au développement de la vente en vrac, au recyclage des plastiques et aux enjeux scientifiques du traité international contre la pollution plastique. Parce qu’il est indispensable de comprendre pour décider, ces rapports reposent principalement sur des auditions avec des scientifiques, experts dans leurs domaines.
Vous trouverez dans cette page un inventaire de mes actions contre la pollution plastique, à l’Assemblée nationale et sur le terrain (participations à des conférences, rencontres et soutien au traité international).
Le sujet de la pollution plastique occupe une part importante de mes activités : remise de rapports, amendements, question au gouvernement, etc. Vous trouverez ici le détail de mes actions législatives sur le sujet.
Régulièrement invité à des évènements sur la pollution plastique, la gestion des déchets ou l’économie circulaire, je suis amené à intervenir dans des colloques et des conférences. Découvrez la diversité de ces interventions !
L’une des recommandations du rapport remis à l’OPECST en 2020 concernait la mise en place d’un traité international pour mettre fin à la pollution plastique. Cette perspective s’est concrétisée depuis et je lui apporte tout mon soutien.
Mon implication contre la pollution plastique se traduit par de nombreuses invitations. Entreprises, chercheurs, collectivités territoriales, associations, établissements d’enseignement, ces invitations sont l’occasion de nombreuses rencontres.